• Schengen : de nouvelles règles pour rendre l’espace sans contrôles aux #frontières_intérieures plus résilient

    La Commission propose aujourd’hui des règles actualisées pour renforcer la gouvernance de l’espace Schengen. Les modifications ciblées renforceront la coordination au niveau de l’UE et offriront aux États membres des outils améliorés pour faire face aux difficultés qui surviennent dans la gestion tant des frontières extérieures communes de l’UE que des frontières intérieures au sein de l’espace Schengen. L’actualisation des règles vise à faire en sorte que la réintroduction des #contrôles_aux_frontières_intérieures demeure une mesure de dernier recours. Les nouvelles règles créent également des outils communs pour gérer plus efficacement les frontières extérieures en cas de crise de santé publique, grâce aux enseignements tirés de la pandémie de COVID-19. L’#instrumentalisation des migrants est également prise en compte dans cette mise à jour des règles de Schengen, ainsi que dans une proposition parallèle portant sur les mesures que les États membres pourront prendre dans les domaines de l’asile et du retour dans une telle situation.

    Margaritis Schinas, vice-président chargé de la promotion de notre mode de vie européen, s’est exprimé en ces termes : « La crise des réfugiés de 2015, la vague d’attentats terroristes sur le sol européen et la pandémie de COVID-19 ont mis l’espace Schengen à rude épreuve. Il est de notre responsabilité de renforcer la gouvernance de Schengen et de faire en sorte que les États membres soient équipés pour offrir une réaction rapide, coordonnée et européenne en cas de crise, y compris lorsque des migrants sont instrumentalisés. Grâce aux propositions présentées aujourd’hui, nous fortifierons ce “joyau” si emblématique de notre mode de vie européen. »

    Ylva Johansson, commissaire aux affaires intérieures, a quant à elle déclaré : « La pandémie a montré très clairement que l’espace Schengen est essentiel pour nos économies et nos sociétés. Grâce aux propositions présentées aujourd’hui, nous ferons en sorte que les contrôles aux frontières ne soient rétablis qu’en dernier recours, sur la base d’une évaluation commune et uniquement pour la durée nécessaire. Nous dotons les États membres des outils leur permettant de relever les défis auxquels ils sont confrontés. Et nous veillons également à gérer ensemble les frontières extérieures de l’UE, y compris dans les situations où les migrants sont instrumentalisés à des fins politiques. »

    Réaction coordonnée aux menaces communes

    La proposition de modification du code frontières Schengen vise à tirer les leçons de la pandémie de COVID-19 et à garantir la mise en place de mécanismes de coordination solides pour faire face aux menaces sanitaires. Les règles actualisées permettront au Conseil d’adopter rapidement des règles contraignantes fixant des restrictions temporaires des déplacements aux frontières extérieures en cas de menace pour la santé publique. Des dérogations seront prévues, y compris pour les voyageurs essentiels ainsi que pour les citoyens et résidents de l’Union. L’application uniforme des restrictions en matière de déplacements sera ainsi garantie, en s’appuyant sur l’expérience acquise ces dernières années.

    Les règles comprennent également un nouveau mécanisme de sauvegarde de Schengen destiné à générer une réaction commune aux frontières intérieures en cas de menaces touchant la majorité des États membres, par exemple des menaces sanitaires ou d’autres menaces pour la sécurité intérieure et l’ordre public. Grâce à ce mécanisme, qui complète le mécanisme applicable en cas de manquements aux frontières extérieures, les vérifications aux frontières intérieures dans la majorité des États membres pourraient être autorisées par une décision du Conseil en cas de menace commune. Une telle décision devrait également définir des mesures atténuant les effets négatifs des contrôles.

    De nouvelles règles visant à promouvoir des alternatives effectives aux vérifications aux frontières intérieures

    La proposition vise à promouvoir le recours à d’autres mesures que les contrôles aux frontières intérieures et à faire en sorte que, lorsqu’ils sont nécessaires, les contrôles aux frontières intérieures restent une mesure de dernier recours. Ces mesures sont les suivantes :

    - Une procédure plus structurée pour toute réintroduction des contrôles aux frontières intérieures, comportant davantage de garanties : Actuellement, tout État membre qui décide de réintroduire des contrôles doit évaluer le caractère adéquat de cette réintroduction et son incidence probable sur la libre circulation des personnes. En application des nouvelles règles, il devra en outre évaluer l’impact sur les régions frontalières. Par ailleurs, tout État membre envisageant de prolonger les contrôles en réaction à des menaces prévisibles devrait d’abord évaluer si d’autres mesures, telles que des contrôles de police ciblés et une coopération policière renforcée, pourraient être plus adéquates. Une évaluation des risques devrait être fournie pour ce qui concerne les prolongations de plus de 6 mois. Lorsque des contrôles intérieurs auront été rétablis depuis 18 mois, la Commission devra émettre un avis sur leur caractère proportionné et sur leur nécessité. Dans tous les cas, les contrôles temporaires aux frontières ne devraient pas excéder une durée totale de 2 ans, sauf dans des circonstances très particulières. Il sera ainsi fait en sorte que les contrôles aux frontières intérieures restent une mesure de dernier recours et ne durent que le temps strictement nécessaire.
    – Promouvoir le recours à d’autres mesures : Conformément au nouveau code de coopération policière de l’UE, proposé par la Commission le 8 décembre 2021, les nouvelles règles de Schengen encouragent le recours à des alternatives effectives aux contrôles aux frontières intérieures, sous la forme de contrôles de police renforcés et plus opérationnels dans les régions frontalières, en précisant qu’elles ne sont pas équivalentes aux contrôles aux frontières.
    - Limiter les répercussions des contrôles aux frontières intérieures sur les régions frontalières : Eu égard aux enseignements tirés de la pandémie, qui a grippé les chaînes d’approvisionnement, les États membres rétablissant des contrôles devraient prendre des mesures pour limiter les répercussions négatives sur les régions frontalières et le marché intérieur. Il pourra s’agir notamment de faciliter le franchissement d’une frontière pour les travailleurs frontaliers et d’établir des voies réservées pour garantir un transit fluide des marchandises essentielles.
    - Lutter contre les déplacements non autorisés au sein de l’espace Schengen : Afin de lutter contre le phénomène de faible ampleur mais constant des déplacements non autorisés, les nouvelles règles créeront une nouvelle procédure pour contrer ce phénomène au moyen d’opérations de police conjointes et permettre aux États membres de réviser ou de conclure de nouveaux accords bilatéraux de réadmission entre eux. Ces mesures complètent celles proposées dans le cadre du nouveau pacte sur la migration et l’asile, en particulier le cadre de solidarité contraignant, et doivent être envisagées en liaison avec elles.

    Aider les États membres à gérer les situations d’instrumentalisation des flux migratoires

    Les règles de Schengen révisées reconnaissent l’importance du rôle que jouent les États membres aux frontières extérieures pour le compte de tous les États membres et de l’Union dans son ensemble. Elles prévoient de nouvelles mesures que les États membres pourront prendre pour gérer efficacement les frontières extérieures de l’UE en cas d’instrumentalisation de migrants à des fins politiques. Ces mesures consistent notamment à limiter le nombre de points de passage frontaliers et à intensifier la surveillance des frontières.

    La Commission propose en outre des mesures supplémentaires dans le cadre des règles de l’UE en matière d’asile et de retour afin de préciser les modalités de réaction des États membres en pareilles situations, dans le strict respect des droits fondamentaux. Ces mesures comprennent notamment la possibilité de prolonger le délai d’enregistrement des demandes d’asile jusqu’à 4 semaines et d’examiner toutes les demandes d’asile à la frontière, sauf en ce qui concerne les cas médicaux. Il convient de continuer à garantir un accès effectif à la procédure d’asile, et les États membres devraient permettre l’accès des organisations humanitaires qui fournissent une aide. Les États membres auront également la possibilité de mettre en place une procédure d’urgence pour la gestion des retours. Enfin, sur demande, les agences de l’UE (Agence de l’UE pour l’asile, Frontex, Europol) devraient apporter en priorité un soutien opérationnel à l’État membre concerné.

    Prochaines étapes

    Il appartient à présent au Parlement européen et au Conseil d’examiner et d’adopter les deux propositions.

    Contexte

    L’espace Schengen compte plus de 420 millions de personnes dans 26 pays. La suppression des contrôles aux frontières intérieures entre les États Schengen fait partie intégrante du mode de vie européen : près de 1,7 million de personnes résident dans un État Schengen et travaillent dans un autre. Les personnes ont bâti leur vie autour des libertés offertes par l’espace Schengen, et 3,5 millions d’entre elles se déplacent chaque jour entre des États Schengen.

    Afin de renforcer la résilience de l’espace Schengen face aux menaces graves et d’adapter les règles de Schengen aux défis en constante évolution, la Commission a annoncé, dans son nouveau pacte sur la migration et l’asile présenté en septembre 2020, ainsi que dans la stratégie de juin 2021 pour un espace Schengen pleinement opérationnel et résilient, qu’elle proposerait une révision du code frontières Schengen. Dans son discours sur l’état de l’Union de 2021, la présidente von der Leyen a également annoncé de nouvelles mesures pour contrer l’instrumentalisation des migrants à des fins politiques et pour assurer l’unité dans la gestion des frontières extérieures de l’UE.

    Les propositions présentées ce jour viennent s’ajouter aux travaux en cours visant à améliorer le fonctionnement global et la gouvernance de Schengen dans le cadre de la stratégie pour un espace Schengen plus fort et plus résilient. Afin de favoriser le dialogue politique visant à relever les défis communs, la Commission organise régulièrement des forums Schengen réunissant des membres du Parlement européen et les ministres de l’intérieur. À l’appui de ces discussions, la Commission présentera chaque année un rapport sur l’état de Schengen résumant la situation en ce qui concerne l’absence de contrôles aux frontières intérieures, les résultats des évaluations de Schengen et l’état d’avancement de la mise en œuvre des recommandations. Cela contribuera également à aider les États membres à relever tous les défis auxquels ils pourraient être confrontés. La proposition de révision du mécanisme d’évaluation et de contrôle de Schengen, actuellement en cours d’examen au Parlement européen et au Conseil, contribuera à renforcer la confiance commune dans la mise en œuvre des règles de Schengen. Le 8 décembre, la Commission a également proposé un code de coopération policière de l’UE destiné à renforcer la coopération des services répressifs entre les États membres, qui constitue un moyen efficace de faire face aux menaces pesant sur la sécurité dans l’espace Schengen et contribuera à la préservation d’un espace sans contrôles aux frontières intérieures.

    La proposition de révision du code frontières Schengen qui est présentée ce jour fait suite à des consultations étroites auprès des membres du Parlement européen et des ministres de l’intérieur réunis au sein du forum Schengen.

    Pour en savoir plus

    Documents législatifs :

    – Proposition de règlement modifiant le régime de franchissement des frontières par les personnes : https://ec.europa.eu/home-affairs/proposal-regulation-rules-governing-movement-persons-across-borders-com-20

    – Proposition de règlement visant à faire face aux situations d’instrumentalisation dans le domaine de la migration et de l’asile : https://ec.europa.eu/home-affairs/proposal-regulation-situations-instrumentalisation-field-migration-and-asy

    – Questions-réponses : https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/en/qanda_21_6822

    – Fiche d’information : https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/en/fs_21_6838

    https://ec.europa.eu/commission/presscorner/detail/fr/ip_21_6821

    #Schengen #Espace_Schengen #frontières #frontières_internes #résilience #contrôles_frontaliers #migrations #réfugiés #asile #crise #pandémie #covid-19 #coronavirus #crise_sanitaire #code_Schengen #code_frontières_Schengen #menace_sanitaire #frontières_extérieures #mobilité #restrictions #déplacements #ordre_public #sécurité #sécurité_intérieure #menace_commune #vérifications #coopération_policière #contrôles_temporaires #temporaire #dernier_recours #régions_frontalières #marchandises #voies_réservées #déplacements_non_autorisés #opérations_de_police_conjointes #pacte #surveillance #surveillance_frontalière #points_de_passage #Frontex #Europol #soutien_opérationnel

    –—

    Ajouté dans la métaliste sur les #patrouilles_mixtes ce paragraphe :

    « Lutter contre les déplacements non autorisés au sein de l’espace Schengen : Afin de lutter contre le phénomène de faible ampleur mais constant des déplacements non autorisés, les nouvelles règles créeront une nouvelle procédure pour contrer ce phénomène au moyen d’opérations de police conjointes et permettre aux États membres de réviser ou de conclure de nouveaux accords bilatéraux de réadmission entre eux. Ces mesures complètent celles proposées dans le cadre du nouveau pacte sur la migration et l’asile, en particulier le cadre de solidarité contraignant, et doivent être envisagées en liaison avec elles. »

    https://seenthis.net/messages/910352

    • La Commission européenne propose de réformer les règles de Schengen pour préserver la #libre_circulation

      Elle veut favoriser la coordination entre États membres et adapter le code Schengen aux nouveaux défis que sont les crise sanitaires et l’instrumentalisation de la migration par des pays tiers.

      Ces dernières années, les attaques terroristes, les mouvements migratoires et la pandémie de Covid-19 ont ébranlé le principe de libre circulation en vigueur au sein de l’espace Schengen. Pour faire face à ces événements et phénomènes, les pays Schengen (vingt-deux pays de l’Union européenne et la Suisse, le Liechtenstein, la Norvège et l’Islande) ont réintroduit plus souvent qu’à leur tour des contrôles aux frontières internes de la zone, en ordre dispersé, souvent, et, dans le cas de l’Allemagne, de l’Autriche, de la France, du Danemark, de la Norvège et de la Suède, de manière « provisoirement permanente ».
      Consciente des risques qui pèsent sur le principe de libre circulation, grâce à laquelle 3,5 millions de personnes passent quotidiennement d’un État membre à l’autre, sans contrôle, la Commission européenne a proposé mardi de revoir les règles du Code Schengen pour les adapter aux nouveaux défis. « Nous devons faire en sorte que la fermeture des frontières intérieures soit un ultime recours », a déclaré le vice-président de la Commission en charge de la Promotion du mode de vie européen, Margaritis Schinas.
      Plus de coordination entre États membres

      Pour éviter le chaos connu au début de la pandémie, la Commission propose de revoir la procédure en vertu de laquelle un État membre peut réintroduire des contrôles aux frontières internes de Schengen. Pour les événements « imprévisibles », les contrôles aux frontières pourraient être instaurés pour une période de trente jours, extensibles jusqu’à trois mois (contre dix jours et deux mois actuellement) ; pour les événements prévisibles, elle propose des périodes renouvelables de six mois jusqu’à un maximum de deux ans… ou plus si les circonstances l’exigent. Les États membres devraient évaluer l’impact de ces mesures sur les régions frontalières et tenter de le minimiser - pour les travailleurs frontaliers, au nombre de 1,7 million dans l’Union, et le transit de marchandises essentielle, par exemple - et et envisager des mesures alternatives, comme des contrôles de police ciblés ou une coopération policière transfrontalières.
      Au bout de dix-huit mois, la Commission émettrait un avis sur la nécessité et la proportionnalité de ces mesures.
      De nouvelles règles pour empêcher les migrations secondaires

      L’exécutif européen propose aussi d’établir un cadre légal, actuellement inexistant, pour lutter contre les « migrations secondaires ». L’objectif est de faire en sorte qu’une personne en situation irrégulière dans l’UE qui traverse une frontière interne puisse être renvoyée dans l’État d’où elle vient. Une mesure de nature à satisfaire les pays du Nord, dont la Belgique, qui se plaignent de voir arriver ou transiter sur leur territoire des migrants n’ayant pas déposé de demandes d’asile dans leur pays de « première entrée », souvent situé au sud de l’Europe. La procédure réclame des opérations de police conjointes et des accords de réadmission entre États membres. « Notre réponse la plus systémique serait un accord sur le paquet migratoire », proposé par la Commission en septembre 2020, a cependant insisté le vice-président Schengen. Mais les États membres ne sont pas en mesure de trouver de compromis, en raison de positions trop divergentes.
      L’Europe doit se préparer à de nouvelles instrumentalisations de la migration

      La Commission veut aussi apporter une réponse à l’instrumentalisation de la migration telle que celle pratiquée par la Biélorussie, qui a fait venir des migrants sur son sol pour les envoyer vers la Pologne et les États baltes afin de faire pression sur les Vingt-sept. La Commission veut définir la façon dont les États membres peuvent renforcer la surveillance de leur frontière, limiter les points d’accès à leur territoire, faire appel à la solidarité européenne, tout en respectant les droits fondamentaux des migrants.
      Actuellement, « la Commission peut seulement faire des recommandations qui, si elles sont adoptées par le Conseil, ne sont pas toujours suivies d’effet », constate la commissaire aux Affaires intérieures Ylva Johansson.
      Pour faire face à l’afflux migratoire venu de Biélorussie, la Pologne avait notamment pratiqué le refoulement, contraire aux règles européennes en matière d’asile, sans que l’on donne l’impression de s’en émouvoir à Bruxelles et dans les autres capitales de l’Union. Pour éviter que cela se reproduise, la Commission propose des mesures garantissant la possibilité de demander l’asile, notamment en étendant à quatre semaines la période pour qu’une demande soit enregistrée et traitée. Les demandes pourront être examinée à la frontière, ce qui implique que l’État membre concerné devrait donner l’accès aux zones frontalières aux organisations humanitaires.

      La présidence française du Conseil, qui a fait de la réforme de Schengen une de ses priorités, va essayer de faire progresser le paquet législatif dans les six mois qui viennent. « Ces mesures constituent une ensemble nécessaire et robuste, qui devrait permettre de préserver Schengen intact », a assuré le vice-président Schinas. Non sans souligner que la solution systémique et permanente pour assurer un traitement harmonisé de l’asile et de la migration réside dans le pacte migratoire déposé en 2020 par la Commission et sur lequel les États membres sont actuellement incapables de trouver un compromis, en raison de leurs profondes divergences sur ces questions.

      https://www.lalibre.be/international/europe/2021/12/14/face-aux-risques-qui-pesent-sur-la-libre-circulation-la-commission-europeenn
      #réforme

  • La Principauté de Monaco lance un « pass sérologique » permettant de retarder la 3e dose de vaccin.
    Alors que les cas de Covid flambent toujours, ce document permettra de repousser l’injection de la dose de rappel pour les personnes qui bénéficient d’un certain nombre d’anticorps.
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-maritimes/covid-monaco-lance-un-pass-serologique-permettant-de-re

    La principauté de *Monaco, précurseur en matière de lutte contre le Covid ? Après avoir ouvert l’accès au rappel vaccinal dès le 9 novembre, et décidé trois semaines avant la France de fermer les discothèques, le Rocher s’apprête à lancer un « pass sérologique ».

    Dès la fin du mois de juin, Monaco avait lancé une campagne de suivi sérologique gratuit, au moyen d’une prise de sang, « afin de connaitre le niveau de protection de la population contre le Covid ».

    L’objectif est, à l’aide d’une prise de sang, de déterminer le niveau de protection du patient à la COVID-19. L’idée est d’établir une surveillance épidémiologique de la Principauté.

    Toute personne précédemment vaccinée, ou ayant été infectée par la COVID-19 et souhaitant connaître son niveau de protection contre la COVID-19 peut prendre un rendez-vous.

    Il s’agit d’une démarche innovante et bienveillante qui permet de déterminer le niveau de protection de la population. Nous souhaitons une vision qui s’inscrit dans la durée
    Didier Gamerdinger, ministre des Affaires sociales et de la santé
    Communiqué du gouvernement monégasque

    A Monaco, le taux de reproduction du virus toujours autour de 1,5. Un chiffre élevé, qui indique qu’en moyenne dix personnes atteintes en contaminent quinze actuellement.

    Mais le nombre de cas graves reste contenu. Selon le dernier bilan publié par le gouvernement monégasque, seules dix neuf personnes sont prises en charge au centre hospitalier Princesse Grace. Un chiffre stable depuis plusieurs semaines.

    A noter aussi, que les consignes sanitaires vont évoluer ce 15 décembre en fonction du type d’établissement fréquenté.

    #Monaco crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #Hôpital

    • A Monaco, une certaine considération de la population.
      Faut dire qu’en dehors des certains monégasques, on ne va pas obliger certaines et certains à se faire vacciner tous les trimestres.
      Jauge à 2 trimestres, pour elles et eux et les autres.

  • Médecins, hôpitaux : les Pays de la Loire à bout de souffle ? Murielle Dreux - 11/12/2021
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/mayenne/laval/medecins-hopitaux-les-pays-de-la-loire-a-bout-de-souffl

    Le système de santé n’a jamais été autant sous tension et notamment en Pays de la Loire : services en sursis, urgences fermées plusieurs nuits à Laval et dans les hôpitaux sarthois.

    Les personnels des CHU crient leur inquiétude et leur épuisement. Beaucoup décident de changer de métier et cela génère des pénuries de personnel médical.

    https://www.youtube.com/watch?v=OQc288jQF1s

    Comment en est-on arrivé là ? Quelles solutions existent pour faire face à cette crise inédite ? Les annonces du Ségur de la santé, qui promettent plus d’un milliard d’euros pour les services de santé en Pays de la Loire sont-elles suffisantes ?

    https://www.youtube.com/watch?v=2iyYB3iDGhg

    Des reportages et des invités pour faire un état des lieux du secteur de la santé.

    Virginie Charbonneau accueille sur le plateau exceptionnellement installé à Laval en Mayenne :
    • Le maire divers-Gauche de Laval, Florian Bercault
    • Yannick Favennec, député UDI de Mayenne, qui a déposé une proposition de loi pour imposer aux médecins tout juste diplômés de s’installer dans des secteurs dits « déserts médicaux »
    • Caroline Brémaud, cheffe des urgences de l’hôpital de Laval, cette médecin se mobilise sur les réseaux sociaux notamment 
    • Florent Pouget, directeur de l’offre de santé ARS Pays de la Loire (Agence Régionale de Santé)

    La Sarthe ou la Mayenne, départements ruraux, font face à un manque de personnel et à la menace de fermeture des services d’urgence ou de chirurgie.
    
Florian Bercault, le maire de Laval attend la concrétisation des promesses de l’Etat 

    https://www.youtube.com/watch?v=acSgaY9Gjqo

    Le député Yannick Favennec plaide pour une obligation de présence des jeunes médecins en milieu rural

    https://www.youtube.com/watch?v=WiSZHRtuAZU

    Une politique contraignante en faveur de l’installation médicale dans les déserts médicaux également défendue par Caroline Brémaud.
    L’urgentiste porte un discours qui tranche par rapport aux positions de la majorité des syndicats de médecins. 

    https://www.youtube.com/watch?v=q5r5H1aehOg

    ►Dimanche en Politique, ce dimanche 12 décembre à 11h25 et à tout moment sur francetv.fr

    #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #Hôpital #Bruxelles #Laval #Mayenne #Sarthe #Pays_de_la_Loire #France

  • Les personnes qui ont très mal réagi au vaccin auront un certificat de vaccination sans deuxième dose Belga
    https://bx1.be/categories/news/les-personnes-qui-ont-tres-mal-reagi-au-vaccin-auront-leurs-cst

    Les personnes qui ont fait une réaction grave à la vaccination contre le Covid-19 et pour qui une deuxième injection n’est plus envisageable peuvent également recevoir un certificat de vaccination par l’un des 21 médecins de référence officiels. Cette attestation n’est pas contre valable qu’en Belgique, a indiqué samedi la Taskforce vaccination.

    Depuis septembre, certaines personnes qui, pour des raisons médicales (risque élevé de réactions allergiques notamment) ne peuvent pas se faire vacciner, peuvent se voir proposer par l’un de ces 21 médecins de référence, une attestation leur permettant le remboursement sans limite des tests PCR. A peine quelques dizaines de personnes en ont profité depuis le début de l’année scolaire, malgré la quantité importante de demandes reçues, la plupart des personnes pouvant être vaccinées moyennant quelques adaptations, a précisé la taskforce lors d’un point de presse.

    Depuis peu, les personnes ayant eu une réaction indésirable très grave (ayant entraîné une hospitalisation) après une première vaccination peuvent également être envoyées par leur médecin généraliste vers un médecin de référence qui pourra envisager d’utiliser un vaccin différent pour la prochaine vaccination anti-coronavirus ou, si cela n’est pas possible, une attestation permettant d’obtenir un CST-vaccination, mais qui ne s’appliquera qu’au territoire belge.

    #vaccins #effets_secondaires #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé_publique 

  • Près de 4.000 soignants dans les rues de Bruxelles contre l’obligation vaccinale
    https://bx1.be/categories/news/pres-de-4-000-soignants-dans-les-rues-de-bruxelles-contre-lobligation-vaccinale

    Environ 3.800 personnes, selon l’estimation de la police de Bruxelles-Ixelles, manifestent ce mardi matin depuis 10h30 à Bruxelles contre l’obligation vaccinale visant le personnel soignant.

    Cette manifestation, organisée en front commun par la CGSP, le Setca, la CNE, le SLPF et la CGSLB, succède à une semaine de mobilisation devant le cabinet du ministre de la Santé publique Frank Vandenbroucke.

    Elle a débuté par un rassemblement sur la place de La Chapelle. Le cortège s’est ensuite mis en branle en direction du carrefour Arts-Loi, aux portes de la “zone neutre” et du siège du gouvernement fédéral. Les manifestants ont fait du bruit et lancé des pétards.

    Ils arboraient de nombreuses pancartes et banderoles sur lesquelles on pouvait lire : “Un plan contre la pénurie d’infirmiers maintenant”, “Du bon sens”, “SOS”, “La vraie urgence n’est pas de licencier”, “Sauvez notre système de santé au lieu de licencier”, “Mon corps, mon choix” ou encore “Urgences en souffrance”. Des blouses blanches, brandies au-dessus de la foule, servaient aussi de supports à des slogans. Des pompiers ambulanciers étaient présents en fin de cortège.

    Rencontres avec le monde politique
    En marge de la mobilisation, une délégation syndicale devait rencontrer des représentants du parti Ecolo à 09h00, du PS à 10h00, du MR à 11h00, ainsi que le ministre de la Santé à 11h45. Des entretiens avec des partis flamands devaient également avoir lieu dans la journée. “Le secteur des soins est atrophié de longue date et a été d’autant plus atrophié par la crise sanitaire“, défend Olivier Nyssen, secrétaire général CGSP. “Sanctionner les travailleurs non vaccinés va accroître encore la pénurie jusqu’à mettre en péril les soins de santé dans le pays. Le fait de diminuer les bras pour les patients va augmenter la charge et l’essoufflement des soignants vaccinés. Des lits déjà ferment actuellement“, a-t-il ajouté.

    Un ras-le-bol aussi concernant les conditions de travail
    Cela fait très longtemps que la pénurie de personnel soignant se fait sentir en Belgique mais depuis la crise sanitaire, elle ne fait que croître. Les inscriptions dans les écoles pour devenir infirmier ou aide soignant ont diminué de 30% cette année. La faible attractivité du salaire, les conditions de travail difficiles n’attirent plus les jeunes. “Nous avons eu le fonds blouse blanche mais qui n’est pas suffisant, commente Gaëtan Mestag, vice-président du syndicat autonome Union4U. C’est comme si le gouvernement avait investi 1,50 euro par personne. Ce n’est pas suffisant. Il faut aussi que les étudiants en dernière année soient revalorisés.”

    Union4U a également écrit une carte blanche directement au premier ministre, Alexander De Croo pour demander une vraie revalorisation afin de faire revenir dans la profession, les 10.000 infirmiers qui ont quitté la profession.

    Une désorganisation dans les hôpitaux
    Dans tous les hôpitaux , depuis plusieurs semaines déjà, le taux d’absentéisme est très élevé. Aux hôpitaux Iris, on parlait de 20 à 30% d’absence selon les sites. Dans le groupe hospitaliser privé Chirec, on compte plutôt entre 10 et 15% d’absence. A Delta, un lit en soin intensif ne peut pas être ouvert par manque de personnel. La mobilisation d’aujourd’hui rend encore plus difficile l’organisation.  “A Delta, nous avons dû annuler toutes les opérations non urgentes car nous n’avons pas assez de personnel,  explique Philippe El Haddad, directeur général médical du groupe. J’espère que nous pourrons résorber le retard dans la semaine.”

    Philippe El Haddad comprend le ras-le-bol du personnel soignant. La norme d’un infirmier pour 8 patients n’est pas respectée depuis longtemps. Au Chirec, c’est un soignant pour 11 patients. Malgré les fonds dont son groupe hospitalier dispose, il ne trouve pas de personnel qualifié pour occuper le poste. Il a donc tenté de faire venir une trentaine d’infirmières du Liban, mais cela coince à cause notamment des équivalences de diplôme.

    #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie Soit disant #vaccins #santé_publique #Hôpital #Bruxelles

    • 4000 soignants qui ne veulent pas se faire injecter une thérapie génétique tous les 6 mois, même par des saints nicolas.
      Il n’y a pas 4000 zozos dans les hôpitaux de Bruxelles, parmi les meilleurs de l’union européenne.

      Qui leur donnera la parole ?

  • Yeay ! Un chouette outil !
    Visualisation des voies de transmission et des mesures d’atténuation du SARS-CoV-2
    Ce schéma interactif et paramétrable selon plusieurs critères montre les différentes voies que peut emprunter le virus à l’origine du covid-19 lors de son transfert entre deux personnes. Plus la couleur est foncée, plus le risque estimé est élevé...
    👉👉👉 https://www.bmj.com/content/375/bmj-2021-065312


    #covid #covid19 #sars-cov_2 #infection

  • Coronavirus : le ministre allemand de la Santé votera contre la vaccination obligatoire
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_coronavirus-le-ministre-allemand-de-la-sante-votera-contre-la-vaccinatio

    Le ministre allemand de la Santé Jens Spahn a fait savoir qu’il voterait contre la vaccination obligatoire au parlement. Jens Spahn, membre de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), s’est dit très sceptique quant à cette obligation, rapporte le journal Rheinische Post.

    « J’ai toujours dit qu’il n’y aurait pas de vaccination obligatoire et c’est toujours ma position », a déclaré le ministre. Jens Spahn a par ailleurs souligné qu’il y avait de grandes chances que l’obligation soit adoptée au parlement, car la plupart des membres du Bundestag y sont favorables.

    #Allemagne #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique 

  • Liste des footballeurs morts sur un terrain en 2021
    Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_footballeurs_morts_sur_un_terrain

    La presse sportive en parle assez peu, probablement de peur que le football soit interdit.

    2018 1 décès.

    2019 8 décès.

    2020 3 décès.

    2021, on est déjà à 15 décès

    03/01/2021 - Alex Apolinario - décède à l’hôpital quatre jours après avoir fait un arrêt cardiorespiratoire sur le terrain - Source : RMC Sport.
    https://rmcsport.bfmtv.com/football/portugal-forte-emotion-apres-le-deces-d-un-jeune-joueur-bresilien_AN

    11/04/2021 - Reda Saki (Maroc) - s’effondre lors d’un match de championnat amateur puis décède peu de temps après son transfert à l’hôpital - Source : africatopsports.com.
    https://www.africatopsports.com/2021/04/12/maroc-joueur-meurt-match

    04/06/2021 - Giuseppe Perrino (Italie) - Décédé d’un arrêt cardiaque lors d’un match en hommage à son frère - Source marca.com.
    https://www.marca.com/en/football/international-football/2021/06/05/60bbd7d722601d9a708b4608.html

    17/06/2021 - Robert Lima (Salvador) - Meurt au cours d’un match amical, victime d’une crise cardiaque - Source today.in-24.
    https://today.in-24.com/sport/News/2311.html

    21/06/2021 - Viktor Marcell Hegedüs (Hongrie) - Décédé après s’être effondré lors d’un entraînement - Source budapestherald.
    https://www.budapestherald.hu/sport/2021/06/26/an-18-year-old-hungarian-football-player-collapsed-and-died-during-tr

    16/07/2021 - Imad Bayoumi (Egypte) - S’effondre dans un match puis meurt à l’hôpital - Source eg24.news.
    https://www.eg24.news/2021/07/the-death-of-a-retired-egyptian-player-during-a-friendly-match-to-pay-tribute

    17/08/2021 - Moira Claire Arney (Texas) - Décédée lors d’un entraînement avec son équipe - Source Forth Worth Star-Télégram.
    https://www.star-telegram.com/news/state/texas/article253583989.html

    04/09/2021 - Jens De Smet (Belgique Pays Bas) - Effondré sur le terrain, probablement à victime d’une cardiomyopathie - Source Sud Info.
    https://lacapitale.sudinfo.be/829129/article/2021-09-07/un-jeune-de-27-ans-decede-en-match-de-foot-amateur-mon-frere-etai

    05/09/2021 - Dylan Rich (Angleterre) - Victime d’un malaise cardiaque lors d’un match, il est hospitalisé puis décède trois jours plus tard - Source Voici.fr.
    https://www.voici.fr/news-people/actu-people/mort-de-dylan-rich-a-17-ans-le-footballeur-a-ete-victime-dun-malaise-cardiaque

    11/09/2021 - Frédéric Lartillot (Ain) - Succombe à une crise cardiaque dans les vestiaires après un match amical - Source Le Progrés.
    https://www.leprogres.fr/culture-loisirs/2021/09/11/deces-d-un-joueur-de-foot-apres-un-match-ses-coequipiers-ont-tout-tente-po

    28/09/2021 - Antonello Campus (Sardaigne) - Décède suite à une crise cardiaque à la fin de l’entraînement d’une équipe de jeunes - Source unionesarda.it/news.
    https://www.unionesarda.it/news-sardegna/sassari-provincia/tragedia-in-campo-malore-fatale-per-lallenatore-della-juniones-dellusine

    07/10/2021 - Niels De Wolf (Belgique) - Décédé à l’hôpital quelques jours après avoir fait un arrêt cardiaque dans les vestiaires - Source RTL 5mn.
    https://5minutes.rtl.lu/sport/international/a/1798456.html

    08/10/2021 - Benoît Sabard (Cher) - Succombe à un arrêt cardiaque pendant la seconde mi-temps - Source Ouest France.
    https://www.ouest-france.fr/centre-val-de-loire/cher/cher-un-footballeur-meurt-d-un-arret-cardiaque-en-plein-match-7461855

    10/10/2021 - (France) Un joueur de Saint James est victime d’une crise cardiaque - Source actu.fr/normandie .
    https://actu.fr/normandie/avranches_50025/un-joueur-de-foot-fait-un-arret-cardiaque-avant-le-match-saint-james-contre-avr
    Toujours vivant

    17/10/2021 - Badr Laksour (Vaucluse) - Mort d’un arrêt cardiaque en fin de première mi-temps. Source Ouest France.
    https://www.20minutes.fr/faits_divers/3153839-20211021-avignon-un-footballeur-amateur-meurt-d-un-arret-cardiaque

    24/10/2021 - Jean Megarus (Isére) - Victime d’un malaise cardiaque à la mi-temps, il n’a pas pu être ranimé. Source Rennes maville.
    https://rennes.maville.com/sport/detail_-isere.-un-gardien-de-but-meurt-dans-les-vestiaires-au-cours-

     #santé #santé_publique #décès #football #sport #foot #football_is_a_country #fifa #presse

    • Rugby : décès de l’internationale écossaise Siobhan Cattigan à 26 ans
      https://www.lefigaro.fr/sports/rugby/rugby-deces-de-l-internationale-ecossaise-siobhan-cattigan-a-26-ans-2021120

      01/12/2021 La Fédération écossaise de rugby a annoncé le décès brutal de l’internationale Siobhan Cattigan à l’âge de 26 ans. « Scottish Rugby est profondément attristé d’apprendre le décès de l’internationale écossaise Siobhan Cattigan. Les pensées de tous nos employés et joueurs vont à la famille de Siobhan et à de nombreux coéquipiers du comté de Stirling et de l’Écosse en cette période incroyablement difficile », indique la Fédération dans un communiqué, qui ne précise pas les causes de son décès. Trois-quarts polyvalente, Siobhan Cattigan avait porté le maillot écossais à 19 reprises.


      Siobhan Cattigan avait été sélectionnée 19 fois en équipe d’Écosse. Photo Scottish Rugby

    • Diminué depuis qu’il est vacciné, Jérémy Chardy suspend sa saison L’équipe ! ! ! !
      https://www.lequipe.fr/Tennis/Actualites/Jeremy-chardy-suspend-sa-saison/1287521

      Jérémy Chardy (73e mondial) a été contraint de suspendre sa saison, sans savoir pour combien de temps, en raison d’une réaction au vaccin Pfizer contre le Covid. « Depuis que j’ai eu mon vaccin (entre les Jeux olympiques et l’US Open, ndlr), j’ai un problème, j’enchaîne les galères. Du coup, je ne peux pas m’entraîner, je ne peux pas jouer », a-t-il confié à l’AFP en expliquant ressentir de violentes douleurs partout dans le corps dès qu’il fait un effort physique.

      « Je préfère prendre plus de temps pour me soigner et être sûr que, dans le futur, je n’aurai pas de problème »

      Durant plusieurs semaines, le Français (34 ans) s’est posé des questions sur la provenance de ces douleurs quasiment paralysantes. « Maintenant, j’ai été voir deux docteurs, j’ai fait des tests, donc je sais ce que j’ai et le plus important, c’est de me soigner. Je préfère même prendre plus de temps pour me soigner et être sûr que, dans le futur, je n’aurai pas de problème, plutôt que d’essayer de revenir le plus vite possible sur le court et me retrouver avec encore des problèmes de santé. Dans la tête, c’est difficile parce que je ne sais pas combien de temps ça va durer. Pour l’instant, ma saison est arrêtée et je ne sais pas quand je reprendrai », a-t-il encore souligné, toujours sous le choc vingt-quatre heures après avoir reçu les résultats de ses analyses.
      . . . . . .

    • Officialisation des réactions graves suite aux vaccins.
      Les personnes qui ont très mal réagi au vaccin auront un certificat de vaccination sans deuxième dose Belga
      https://bx1.be/categories/news/les-personnes-qui-ont-tres-mal-reagi-au-vaccin-auront-leurs-cst

      Les personnes qui ont fait une réaction grave à la vaccination contre le Covid-19 et pour qui une deuxième injection n’est plus envisageable peuvent également recevoir un certificat de vaccination par l’un des 21 médecins de référence officiels. Cette attestation n’est pas contre valable qu’en Belgique, a indiqué samedi la Taskforce vaccination.

      Depuis septembre, certaines personnes qui, pour des raisons médicales (risque élevé de réactions allergiques notamment) ne peuvent pas se faire vacciner, peuvent se voir proposer par l’un de ces 21 médecins de référence, une attestation leur permettant le remboursement sans limite des tests PCR. A peine quelques dizaines de personnes en ont profité depuis le début de l’année scolaire, malgré la quantité importante de demandes reçues, la plupart des personnes pouvant être vaccinées moyennant quelques adaptations, a précisé la taskforce lors d’un point de presse.

      Depuis peu, les personnes ayant eu une réaction indésirable très grave (ayant entraîné une hospitalisation) après une première vaccination peuvent également être envoyées par leur médecin généraliste vers un médecin de référence qui pourra envisager d’utiliser un vaccin différent pour la prochaine vaccination anti-coronavirus ou, si cela n’est pas possible, une attestation permettant d’obtenir un CST-vaccination, mais qui ne s’appliquera qu’au territoire belge.

      #vaccins #effets_secondaires #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #santé_publique 

    • La cinétique de l’épidémie montre qu’elle est imprévisible et non contrôlée.
      Les variants se succèdent et sont différents suivant les groupes de pays.
      Des groupes de pays réagissent différemment aux virus.
      Le vaccin n’a pas bloqué l’épidémie.
      Hydroxychloroquine
      Chiffres
      Diffamations

  • #Belgique Illégalité du Covid Safe Ticket en Wallonie : le gouvernement wallon fera appel de la décision
    https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_illegalite-du-covid-safe-ticket-en-wallonie-le-gouvernement-wallon-fera-

    Le tribunal de première instance de Namur a constaté, en référés, l’illégalité du Covid Safe Ticket (CST) en Wallonie, annonce mardi l’association de défense des droits fondamentaux et libertés « Notre bon droit », à l’origine de l’action.

    La décision du tribunal n’annule pas le Covid Safe Ticket. Le CST reste donc d’application en Wallonie, a indiqué par communiqué mardi soir le gouvernement wallon.

    La Région wallonne a été condamnée à mettre un terme à cette illégalité apparente dans un délai de 7 jours, sous peine d’astreinte de 5000 euros par jour de retard. La Wallonie a décidé d’interjeter appel de cette décision dès mercredi matin.

    « Contrariété apparente » et principe de proportionnalité non respecté
    Dans son ordonnance, le tribunal constate notamment la « contrariété apparente » du décret wallon du 21 octobre dernier relatif à l’usage du CST et au port du masque au droit supranational de l’Union européenne et son apparente violation du principe de légalité.


    Il constate également que ces diverses normes semblent contrevenir au principe de proportionnalité des mesures restrictives de liberté au regard des buts poursuivis.

    Le tribunal condamne dès lors la Région wallonne à prendre toutes les mesures qu’elle estimera appropriées pour mettre un terme à cette situation d’illégalité apparente de l’usage du CST en Wallonie, au préjudice des parties demanderesses, sous peine d’une astreinte de 5000 euros par jour de retard exigibles au-delà d’un délai de 7 jours à dater de la signification de l’ordonnance.

    « Le tribunal constate plusieurs problèmes de légalité dont la contrariété du décret Wallon au droit européen et au droit à la protection des données personnelles. La décision ajoute qu’il ne serait pas démontré que le CST serait la seule alternative à un nouveau lockdown », explique mardi soir l’asbl « Notre bon droit ».

    Selon les avocates de l’association, « le tribunal a aussi critiqué la discrimination instaurée entre les citoyens sans justification objective et scientifique, l’absence de démonstration d’une mesure proportionnée ainsi que la possibilité laissée aux citoyens de décider seuls d’imposer le CST. »

    Une action en référé similaire contre le Covid Safe Ticket bruxellois a été introduite devant le tribunal de première instance de Bruxelles. Elle sera plaidée le 8 décembre prochain.
    #pass_sanitaire #santé_publique #technologisme #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins

     

  • #Belgique : Suspicion de fraude dans une entreprise chargée du tracing en Flandre
    https://www.lalibre.be/belgique/societe/2021/11/28/suspicion-de-fraude-dans-une-entreprise-chargee-du-tracing-en-flandre-XMGIHE

    Il existe de fortes indications que l’un des call centers mis en place par les autorités flamandes pour le suivi des contacts (contact tracing) facture depuis près d’un an des prestations qui n’ont pas eu lieu, indique dimanche soir le journal Het Laatste Nieuws.

    https://www.lalibre.be/resizer/N7ygB1S2fM3V_G8nIjkd6vjJ794=/0x0:2555x1705/768x512/filters:quality(70):format(jpg)/cloudfront-eu-central-1.images.arcpublishing.com/ipmgroup/2LHTTFR4Q5ENVMACUKUFW25GLI.jpg

    Mifratel, une filiale de Yource qui collabore avec cinq autres entreprises pour le suivi des contacts en Flandre, aurait systématiquement laissé travailler des suiveurs de contacts sur d’autres projets mais aurait facturé les prestations au gouvernement flamand. Environ quarante de ces traceurs se seraient connectés chaque jour depuis mars sur la plateforme en ligne de recherche des contacts mais effectuaient d’autres missions.

    Les autorités paient 41,63 euros de l’heure pour un enquêteur de contacts. Ces quarante personnes totalisent des milliers d’heures et le montant pourrait dépasser un million d’euros.

    La maison mère Yource affirme qu’elle vérifiera tout et remboursera le montant « s’il a été facturé de manière incorrecte ».

    L’agence flamande Soins et Santé va porter plainte
    L’agence flamande Soins et Santé a annoncé qu’elle allait porter plainte après la publication de l’article du journal Het Laatste Nieuws. La collaboration avec l’entreprise a été immédiatement arrêtée et un audit externe a été commandé pour les autres entreprises du consortium.

    « Nous voulons enquêter de manière approfondie sur la méthode de travail et les fausses facturations de Yource devant les tribunaux et, si les soupçons de fraude sont confirmés, récupérer tous les paiements de fausses factures », a déclaré Dirk Dewolf, administrateur général de l’agence Soins et Santé.

    #escroquerie #pass_sanitaire #centres_d’appels #téléphonie #téléphone #technologisme #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #call_centers

  • Coronavirus : le variant Omicron ne rend pas les patients gravement malades pour l’instant, selon les médecins sud-africains _ RTBF °
    https://www.rtbf.be/info/societe/detail_coronavirus-le-variant-omicron-ne-rend-pas-les-patients-gravement-malade

    Les personnes infectées en Afrique du Sud par le nouveau variant du coronavirus Omicron ne sont pas gravement malades pour l’instant, même si la recherche reste limitée à ce stade. C’est ce qu’a rapporté la présidente de l’Association des médecins sud-africains, Angélique Coetzee sur la chaîne britannique BBC. « Les patients se plaignent surtout d’avoir les muscles endoloris et de fatigue, une fatigue extrême, a-t-elle déclaré. On le voit au sein de la jeune génération, pas chez les personnes âgées ». Ce variant ne nécessiterait pas une hospitalisation immédiate des patients.

    « Ce dont nous devons nous inquiéter maintenant, c’est que lorsque des personnes plus âgées et non vaccinées seront infectées par ce nouveau variant, elles risquent de développer une forme grave de la maladie », a ajouté Angélique Coetzee. . . . . . . .

     #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique 

  • Idem 2020 : Didier Raoult et la chloroquine, ou les médias et les blogs en bons chiens de garde de l’industrie pharmaceutique Frustration : 31 mars 2020
    https://www.frustrationmagazine.fr/didier-raoult-chloroquine-medias-industrie-pharmaceutique

    Complètement fixés sur la personne de Didier Raoult et sur la polémique autour de l’utilisation de la chloroquine, les médias ont monté un véritable tribunal médiatique à l’encontre de ce médecin, et ont donné toute latitude, une fois de plus, aux soutiens de l’industrie pharmaceutique, qui se frotte les mains tant il y a d’argent à se faire dans cette crise.

    Ces derniers jours, on a pu lire toutes sortes de choses inintéressantes, du moins inutiles dans le contexte, au sujet de Didier Raoult, le médecin infectiologue marseillais qui a réalisé un essai clinique avec de l’hydroxychloroquine et un antibiotique appelé azithromycine pour tenter de guérir des malades du coronavirus. Entre autres : il était mauvais élève, il a passé son bac littéraire en candidat libre puis est parti deux ans travailler sur des navires de commerce. Il a un look peu commun pour un scientifique, les cheveux longs, la barbe. C’est une “star mondiale”, un “personnage”, écrit France Info.

    Les médias ne s’arrêtent pas là : ils nous apprennent aussi que l’essai clinique de Didier Raoult, qui a suscité de grands espoirs chez de nombreux patients, n’aurait pas été réalisé dans les règles de l’art, selon la méthodologie en vigueur dans le milieu scientifique. Des personnes se seraient intoxiquées, notamment aux Etats-Unis, en prenant de la chloroquine (comme nous l’apprend, par exemple, Le Figaro, avant de préciser, après un titre vendeur et mensonger, qu’il s’agissait… d’aliments pour poissons. Difficile de faire plus tendancieux). D’ailleurs, Didier Raoult serait même la nouvelle coqueluche des milieux conspirationnistes.

    L’article : https://www.frustrationmagazine.fr/didier-raoult-chloroquine-medias-industrie-pharmaceutique

    Un exemple parmi des dizaines d’autres : le portrait paru dans Le Monde le 25 mars https://www.lemonde.fr/planete/article/2020/03/25/didier-raoult-le-trublion-du-covid-19_6034364_3244.html est particulièrement cruel (sous couvert d’objectivité) pour le médecin qui, rappelons-le tout de même, est un spécialiste reconnu mondialement pour ses travaux en microbiologie. Dès les premières lignes, les journalistes affirment, sans recontextualiser, que son essai clinique est “au mieux fragile, au pire bancal”, puis décrivent Didier Raoult comme “controversé, fort en gueule, haut en couleur et incontrôlable”. Sa reconnaissance mondiale et ses travaux ne sont qu’évoqués, en deux phrases, au milieu d’un amas d’histoires sans rapport les unes avec les autres : Didier Raoult s’est engueulé avec un collègue chercheur, il ne s’entend pas avec le milieu de la recherche parisien et ne pratique pas les courbettes (insulte suprême, sans aucun doute, aux yeux des médias), il a tenu des propos climatosceptiques, l’un de ses articles scientifiques a été invalidé pour fraude, il est soutenu par plusieurs hommes politiques, dont Christian Estrosi, le maire de Nice. Un autre chercheur interrogé dans le portrait se dit “choqué des attaques personnelles dont [Didier Raoult] est victime sur les plateaux de télévision, alors qu’il n’est pas là pour se défendre”. “Ses déclarations à l’emporte-pièce lui nuisent cependant bien plus que les attaques de ses nombreux adversaires”, juge Le Monde en conclusion de ce passage. Objectif, vraiment ?

    Didier Raoult est peut-être un personnage. Et alors ? Est-ce que cela justifie pour autant un tel tribunal médiatique ? On aurait même envie d’ajouter : quel niveau de médiocrité faut-il atteindre pour se croire le droit de descendre ainsi, avec une mauvaise foi évidente, quelqu’un qui oeuvre pour tenter de guérir des malades ?

    Créer un nouveau marché
    La chloroquine, commercialisée notamment sous le nom de Plaquenil, ne coûte quasiment rien, puisque son brevet est tombée dans le domaine public, et est très facile à fabriquer. Si les essais que poursuit Didier Raoult se montraient concluants à grande échelle, cela signifierait qu’il existe une solution facile et accessible pour guérir le coronavirus.

    Mais ce serait évidemment trop simple. Interrogé par Lundimatin, un “jeune retraité de la recherche pharmaceutique” explique : “L’industrie pharmaceutique qui non seulement a l’oreille de tous les ministres de la santé depuis des lustres mais détient aussi tous les moyens de développement n’est sûrement pas intéressée pour faire un plan de développement long et coûteux pour un produit peu cher et, qui plus est, « génériquable » (5 euros la boîte de 30 comprimés de Plaquenil)”. Il ajoute : “Tant que la recherche et le développement seront entre les mains d’intérêts privés eux-mêmes soumis aux cours boursiers, ce seront tendanciellement les opportunités de marché qui détermineront les axes de développement clinique”.

    Qu’il s’agisse de la chloroquine ou d’une autre molécule, il s’agit donc, avant tout, de créer un nouveau marché. Et dans le cas du coronavirus, il y a de quoi se faire de l’argent puisque le problème concerne l’ensemble de la population, y compris les pays riches. Dans le même entretien, le médecin retraité explique ainsi que les recherches sont en principe menées “par les milieux académiques plus que par l’industrie pharmaceutique, sauf lorsqu’une population occidentale est aussi atteinte”. Une telle industrie, ensuite, a tout loisir de créer artificiellement des pénuries, de jouer de l’offre et de la demande, bref, de faire du bon vieux capitalisme et un maximum de bénéfices, comme nous vous l’expliquions dans cette enquête de 2018.
    https://www.frustrationmagazine.fr/lindustrie-pharmaceutique-a-t-elle-interet-a-nous-soigner-enquet

    Avides de polémiques à deux francs six sous, les médias se sont défoulés avec une joie évidente sur la personne de Didier Raoult qui a le malheur, en plus de proposer un traitement peu cher et accessible, de se foutre complètement de “la capitale” et de “l’establishment”, comme le résume Le Monde dans son portrait, trahissant par la même le vrai problème que leur pose le médecin marseillais : il n’est pas soumis comme eux le sont aux intérêts des puissants.

    Car aveuglés par leur haine et complètement à côté de la plaque, ces mêmes médias ont laissé la porte grande ouverte aux soutiens de l’industrie pharmaceutique. Il suffit de constater l’omniprésence sur les plateaux et dans les articles, d’une personne comme Karine Lacombe, médecin-chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital Saint-Antoine à Paris, en conflit d’intérêts évident puisqu’elle a touché de l’argent, a-t-elle elle-même déclaré dans sa déclaration publique d’intérêts en 2016, des groupes pharmaceutiques Gilead et Abbvie, respectivement détenteurs des brevets du remdesivir et du kaletra…. deux autres molécules testées en ce moment au niveau européen contre le coronavirus. Cette femme, qui s’en est pris violemment à Didier Raoult sur France 2, a eu les honneurs, entre autres, d’un portrait de Libération qui la décrit comme “impressionnante de solidité”, dans lequel le journaliste se dit “épaté”, la qualifie même d’”unique, exceptionnelle”, mais n’évoque pas un instant ses liens avec l’industrie. Idem dans Le Monde, où Karine Lacombe est citée parmi ces “médecins qui crèvent l’écran”. L’article se félicite d’ailleurs qu’elle ne touche pas d’argent pour ses interventions médiatiques. Encore heureux.

    La copie écran : https://www.frustrationmagazine.fr/didier-raoult-chloroquine-medias-industrie-pharmaceutique

    Acharnement sur la forme au détriment du fond
    La mécanique est si bien rodée que les médias se sont jetés dans la danse sans même y penser, croyant défendre leur sacro-sainte objectivité. Ainsi, les premiers constats de Didier Raoult, publiés dans une vidéo sur YouTube, ont été immédiatement qualifié de “partiellement faux” par la rubrique Décodeurs du Monde. Ont suivi les articles déjà évoqués plus hauts au sujet du médecin, portraits au vitriol et attaques personnelles lors de ses interventions télévisées.

    L’article : https://www.frustrationmagazine.fr/didier-raoult-chloroquine-medias-industrie-pharmaceutique
    Capture d’écran du module affilié à l’article du Monde sur Facebook.

    Quasiment inaudible pendant presque un mois, Didier Raoult a finalement été entendu par le gouvernement, et l’hydroxychloroquine fait désormais partie des molécules testées à grande échelle au niveau européen (parmi trois autres traitements) Le médecin marseillais a été inclus dans le conseil scientifique chargé de conseiller l’exécutif, duquel il a démissionné depuis (un “crime de lèse-majesté” qui explique aussi l’acharnement des médias), s’en expliquant dans une tribune dans Le Monde : “Je n’ai pas voulu continuer de participer au conseil scientifique, dans lequel on trouvait deux modélisateurs de l’avenir (qui pour moi représentent l’équivalent de l’astrologie), des maniaques de la méthodologie. Les médecins confrontés au problème du soin représentaient une minorité qui n’a pas nécessairement l’habitude de s’exprimer et qui se trouvaient noyés par cet habillage pseudoscientifique”. “Le médecin peut et doit réfléchir comme un médecin, et non pas comme un méthodologiste”, ajoute le chercheur.

    Le traitement médiatique réservé à Didier Roult n’est que le symptôme d’un problème plus large. Ce n’est pas Didier Raoult lui-même – bien que les médias se soient acharnés de façon complètement exagérée sur sa personne – mais la solution qu’il préconise qui dérange. Mais quand le doigt montre la lune… Les médias ont donc tapé allègrement sur Didier Raoult, trop heureux de montrer au gouvernement, et à l’industrie pharmaceutique embusquée derrière lui, à quel point ils les soutenaient dans leur quête du profit. Bons chiens de garde, on vous a dit.
    (Illustration par Elsa Klée)

    #karine_lacombe #médias #merdias #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #raoult #didier_raoult #france #chloroquine #hydroxychloroquine #actualités_françaises

    • La 5 ieme vague : https://blogs.mediapart.fr/laurent-mucchielli/blog/231121/la-cinquieme-vague-nouvel-episode-d-un-feuilleton-qui-na-que-trop-du

      Extrait : En France, sur les 90 semaines depuis le commencement de la crise du Covid-19, la plus forte incidence a été observée entre le 23 et le 29 mars 2020, au tout début de la crise (cf. fig. 1). Lors de cette semaine paroxysmique, 140 nouveaux malades pour 100 000 habitants ont été estimés par le Réseau Sentinelles (premier réseau de surveillance de maladies transmissibles en France) ; les autres sources de médecins généralistes de terrain, dits de premier recours, sont concordantes. Pour fixer les idées, 100 000 habitants, c’est environ la population d’une préfecture importante (Caen, Nancy, Avignon…). À titre de comparaison, le même réseau de médecins estimait dans les mêmes conditions à plus de 600 malades de syndromes grippaux en une semaine pour 100 000 habitants en moyenne lors des pics épidémiques des années antérieures depuis 20 ans.

  • Dismantling the anti-vaxx industry

    Investigations show that those spreading misinformation that undermines the rollout of vaccines against COVID-19 are well financed, determined and disciplined. To counter their activities, we need to understand them as an industry actively working to sow doubts about the deadliness of COVID-19, vaccines and medical professionals’ integrity.

    https://www.nature.com/articles/s41591-021-01260-6
    #anti-vax #vaccins #anti-vaxx #désinformation #covid-19 #coronavirus #industrie #industrie_anti-vaxx #lobby #campagne #propagande #réseaux_sociaux

    • What also became clear was the sophistication of the means they employ on social media. They have been able to develop these tactics only because social-media companies have been happy for the key players in this anti-vaxx industry to use their services to recruit new followers and spread their lies further than ever before. As a result, there is an online infrastructure of anti-vaccine websites, Facebook groups, YouTube channels, Instagram pages and Twitter accounts with a combined audience of 59 million3. In the UK alone, there are 5.35 million followers of anti-vaxxers across social media.

  • Le gouvernement américain réclame sa part dans l’invention du vaccin de Moderna
    https://www.rts.ch/info/sciences-tech/12644605-le-gouvernement-americain-reclame-sa-part-dans-linvention-du-vaccin-de-

    Aux Etats-Unis, Moderna et les Instituts nationaux de la santé (NIH) se disputent la paternité de la découverte du vaccin à ARN messager contre le Covid-19. Estimant avoir développé la solution tout seul, le laboratoire a exclu du brevet des chercheurs de ces instituts ayant collaboré à sa mise au point.
    Qui a vraiment inventé le vaccin contre le Covid-19 ? Si Moderna et Pfizer ont été les premières sociétés à mettre sur le marché ceux à ARN messager, c’est aussi grâce à la recherche universitaire et à des milliards de dollars de fonds publics, notamment américains, qu’elles ont pu courir le sprint contre la pandémie.


    La firme pharmaceutique de Boston, encore inconnue au bataillon il y a deux ans, a reçu près de 10 milliards d’aides publiques pour développer et tester le vaccin, puis en distribuer 500 millions de doses aux Etats-Unis.

    Mais l’histoire de ce partenariat public-privé n’est pas aussi belle qu’il n’y paraît. Aujourd’hui, Moderna et les NIH (National Institutes of Health, les Instituts nationaux de la santé américains) sont à couteaux tirés. Tous deux se disputent la paternité d’un élément central du vaccin. Au vu des sommes d’argent à la clé, les enjeux dépassent la simple querelle de paternité. Moderna s’attend ainsi à des revenus du vaccin qui avoisinent les 18 milliards de dollars cette année. Il y a aussi, au-delà des gros sous, la question du contrôle de la production et de la distribution future du vaccin.

    Une « trahison » de Moderna
    Les chercheurs de Moderna et les Instituts nationaux de la santé collaboraient autour des vaccins contre les divers coronavirus depuis plusieurs années déjà, notamment sur l’identification des séquences génétiques qui permettent ensuite de produire une réponse immunitaire.

    « Ils ont collaboré pendant quatre ans. Puis ils ont travaillé indépendamment, au tout début de la pandémie, pour trouver la solution technologique » adaptée à la lutte contre le SRAS-CoV-2, le coronavirus responsable de la crise actuelle, a détaillé le professeur à l’EPFL en économie de l’innovation et propriété intellectuelle Gaetan de Rassenfosse lundi dans l’émission Tout un monde de la RTS. C’est donc après l’émergence de la pandémie que la dispute a surgi.

    Tout en reconnaissant que les NIH l’avaient beaucoup aidée, Moderna a estimé dans un communiqué avoir trouvé indépendamment la solution pour contrer le Covid et exclu les chercheurs des Instituts nationaux de la santé de ce brevet. Un geste très moyennement apprécié par les NIH, et que de nombreux chercheurs universitaires considèrent d’ailleurs comme une trahison.

    Le gouvernement américain frustré
    Or, être intégré au brevet « leur donnerait très probablement une part sur le profit », explique Gaetan de Rassenfosse. « Et ça leur donne surtout le droit d’octroyer des licences du vaccin en question à d’autres producteurs ». De quoi permettre aux pouvoirs publics de reprendre un peu le contrôle de ce marché.

    Le gouvernement de Joe Biden a d’ailleurs montré des frustrations vis-à-vis des pharmas, notamment à propos de leur manque de transparence sur les prix, ou encore à cause de leur refus de transférer leur technologie vers d’autres producteurs. Joe Biden avait même évoqué vouloir suspendre temporairement les brevets sur les vaccins contre le Covid-19, un enjeu important.

    Affaire portée devant la justice
    « Si les Etats-Unis étaient considérés comme les co-inventeurs d’un élément central du vaccin, le reste du monde aurait plus de chances de l’obtenir », avance le directeur de l’ONG Public Citizen à Washington Peter Maybarduck. Il ne veut pas non plus laisser les entreprises privées écrire l’histoire toutes seules. « Il s’agit d’un des vaccins les plus efficaces contre le Covid-19. C’est donc important de savoir qui l’a inventé, quelle est son histoire, ce que l’on dira dans le futur ».

    Public Citizen a donc pressé les NIH de définir leur position. Ils ont finalement décidé la semaine dernière de porter l’affaire devant les tribunaux, quoi qu’il en coûte. La procédure risque de coûter très cher, sans garantie de succès, même si les NIH ont le gouvernement derrière eux.

    Sujet radio : Francesca Argiroffo
Adaptation web : Vincent Cherpillod

    #moderna #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #fric #argent #dividendes

  • #Suisse : Les personnes positives au COVID-19 ont représenté 2,9% des hospitalisations et 4,2% des journées de soins en 2020
    Office Fédéral de la statistique

    https://www.bfs.admin.ch/bfs/fr/home/actualites/agenda.agendadetail.2021-0093.html

    Publication annuelle des statistiques sur les hôpitaux. Les informations présentées concernent d’une part la gestion administrative des établissements (comptabilité, personnels, prestations, structure), et d’autre part les données relatives aux patients ainsi qu’aux prestations qu’ils ont reçues. Les données recensent les prises en charge stationnaires et ambulatoires.

    Pour la première fois depuis 2011, le nombre de personnes hospitalisées a diminué en 2020 dans les maisons de naissance et les hôpitaux en Suisse, et cela de 5,8% par rapport à 2019. Les personnes positives au COVID-19 ont représenté 2,9% des hospitalisations et 4,2% des journées de soins. Parmi les personnes ayant le COVID-19 aux soins intensifs, une sur quatre est décédée.

    Dans ce dossier d’information, vous trouverez : Communiqué de presse, Données, Infographique, Atlas, Autres

    #Statistiques #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #covid #pandémie #santé_publique #Hôpitaux

  • Coronavirus : la Grèce ordonne à des dizaines de médecins privés de travailler dans les hôpitaux
    https://www.rtbf.be/info/monde/detail_coronavirus-la-grece-ordonne-a-des-dizaines-de-medecins-prives-de-travai

    Pour soulager les médecins hospitaliers débordés par la pandémie de coronavirus, le ministère grec de la Santé a ordonné vendredi à 85 médecins privés de s’y présenter pour travailler.

    Des officiers de police ont remis les documents correspondants aux médecins, qui doivent maintenant se présenter dans les hôpitaux samedi matin, a rapporté la radio publique.

    Le gouvernement a pris jeudi une décision qui rend cette mesure possible. Selon les experts juridiques, ceux qui refusent risquent jusqu’à trois ans de prison. 

    En raison de la quatrième vague de la pandémie de coronavirus, les hôpitaux, notamment dans le nord de la Grèce, sont totalement surchargés depuis des semaines.

    Début novembre, le gouvernement avait déjà appelé les médecins privés à se porter volontaires. Cependant, seuls une quarantaine de médecins s’étaient portés volontaires.

    Selon les associations de médecins hospitaliers, le système de santé grec a besoin d’au moins 150 médecins supplémentaires.

    #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #covid #pandémie #santé_publique #médecins #médecine_libérale

  • Les catapultes à Covid et autres pathogènes Robin des bois
    https://robindesbois.org/les-catapultes-a-covid-et-autres-pathogenes

    Les souffleurs de feuilles à air pulsé, fonctionnant au pétrole ou avec des batteries au plomb ou au lithium, dispersent des agents toxiques et infectieux dont les coronavirus. Le Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP) saisi par la Direction Générale de la Santé (DGS) a recommandé dans son avis du 4 avril 2020 pendant la première des vagues Covid, de « ne surtout pas employer d’appareils pour souffler des poussières des sols de type souffleurs de feuilles ».


    Cette recommandation du HCSP est tombée dans les caniveaux et les autres oubliettes à l’image des masques usagés. L’automne 2021 est le bon moment pour la rappeler à l’attention de tous.
    
Les innombrables et doctissimes spécialistes de la Covida, les élus, le gouvernement, les autres parties prenantes qui préconisent et mettent en oeuvre ces canons à air que sont les souffleurs de feuilles, sont passés à côté, de même que la presse prise en défaut, sauf exception, dans sa mission de décryptage et de tri de l’inutile et de l’essentiel.

    De leur côté, les souffleurs ont pour mission initiale de débusquer et de regrouper les feuilles mortes et les déchets légers – mégots, blisters, cotons tiges – qui traînent sur les parkings, aux pieds des immeubles, dans les îlots végétalisés et sur les voiries privées ou publiques. Ils remplissent leur mission avec une force cyclonique, au moins 8 mètres cubes d’air par minute avec des vitesses d’éjection comprises entre 100 et 200 km/h.

    Les souffleurs de feuilles ne respectent pas les gestes barrières, c’est tout le contraire.

    Ils dégagent sous forme de particules fines des poussières de trottoirs chargées de virus et de germes. Les flux infectieux polluent les aérosols et sont inhalables par la population générale, par les cohortes vulnérables et par les animaux domestiques.

    Dès l’an 2000, l’Etat de Californie s’inquiétait de la prolifération des souffleurs de feuilles et de la remobilisation dans l’air d’une espèce de bouillon de culture particulaire où se mêlent le plomb, les hydrocarbures, les moisissures, les pesticides, les engrais, les matières fécales et autres fatalités routières et urbaines. 21 ans après ce rapport pionnier, il convient d’ajouter au cocktail les pollens allergènes.

    Le bruit des souffleurs de feuilles est assommant et d’autant plus insupportable qu’il est associé chez la plupart des auditeurs à une activité considérée comme inutile voire nuisible.

    Leur consommation en carburant et leur production en gaz d’échappement atteignent aussi des performances exceptionnelles et inattendues. La Californie qui a de la suite dans les idées va interdire à partir de 2024 la vente de souffleurs à moteur thermique. Elle s’appuie, pour en venir à cette salubre extrémité, sur un rapport du California Air Ressources Board selon lequel un souffleur de puissance moyenne produit autant de pollution en une heure qu’une Toyota Carmy 2017, une berline de catégorie intermédiaire, parcourant 1 770 km.

    Les litières des feuilles et les couches superficielles des terres végétales sont l’habitat de milliers d’espèces d’invertébrés utiles à la fertilisation et aux chaînes alimentaires des oiseaux et des petits mammifères. Les vers de terre se nourrissent en partie de feuilles mortes. Quand les souffleurs de feuilles s’attaquent aux îlots végétalisés, aux parterres, aux squares, aux jardins publics et privés et aux pourtours des arbres, ils balayent et dévastent des écosystèmes utiles et complètement négligés.

    Nous invitons tous ceux qui sont témoins ou victimes de l’utilisation de souffleurs de feuilles à protester auprès des mairies, des syndics de copropriété et des gestionnaires d’îlots résidentiels comme l’OPAC (Office Public d’Aménagement et de Construction).
    
Pendant la période Covid et au-delà, ces engins constituent une mise en danger de la vie d’autrui et de toutes celles et ceux qui les utilisent.

    #HCSP #DGS #gestes_barrières #virus #germes #infection #bouillon_de_culture #particules #plomb #hydrocarbures #moisissures #pesticides #engrais #pollens #allergènes #pollution #écosystèmes #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #covid #pandémie #santé_publique 

  • Myanmar villagers tear down Chinese fences built along the border

    China rejects charges of encroachment, saying fences aren’t built on Myanmar territory.

    Villagers living along Myanmar’s mountainous border with China are destroying fences put up by Chinese authorities to block travelers who might spread #COVID-19, saying the barriers have been built inside Myanmar territory, sources say.

    The destruction of fencing in northern Myanmar’s #Kachin state and #Shan state in the country’s east is causing friction along the border, with both residents and politicians faulting the two countries for letting the problem fester.

    China’s embassy in Myanmar denied any Chinese encroachment and called the construction of fences “a common practice in many countries to strengthen border management.”

    On Oct. 25, residents of #Pangkham village in Shan state’s Muse township took down a fence they said had been set up nearly 30 feet inside village land, one villager said, speaking on condition of anonymity.

    Villagers first saw the new fence when they went to their fields to plant crops, he said.

    “China had first built a solid fence in 2014, but after that they set up barbed wire that was put from 20 to 30 feet inside our own land, and we removed this new fence,” he said, adding that when villagers had previously gone to work in their fields, Chinese soldiers had appeared there to make a show of force.

    “And so we villagers have been moved back four times already,” he said.

    China has not yet responded to the removal of this newest fence, villagers said.

    Muse, the main border crossing into China, lies across a river from #Ruili (#Shweli, in Burmese) in southwestern China’s #Yunnan Province.

    This is the third such dispute between Chinese border authorities and residents of the #Muse district in the last two months, villagers said.

    The Muse township administrator and other local officials have now visited Pangkham, an area close to Chinese border town of #Jiagou, and say they will file a report on the situation with higher-ups at the district level, they said.

    In another incident on Sept. 12, residents of #Namkham township’s #Hak_Hin_village took down a Chinese fence extending into village land after Chinese authorities rebuffed villagers’ objections, village chief Lon Ai Suan said.

    Since the outbreak of the first wave of the #coronavirus pandemic in China in April 2020, border crossings have been tightened on the Chinese side of the border with Myanmar to control the entry and exit of Myanmar nationals, resulting in frequent disputes, sources say.

    ’Can’t do anything on our own’

    Authorities in both countries have been unable so far to settle the issue of encroachment, said Sai Hla Pe, chairman of the Shan Nationalities League for Democracy (SNLD) in northern Shan state, pointing to frequent incidents in #Pansai, #Pangkham, and the #Naung_Mon areas of Muse.

    “We have gone to these places to see for ourselves,” he said.

    “The problem should be solved between the two governments, because we can’t do anything about this on our own. We can only report to the authorities on the results of our investigations in the field,” he said.

    Charges of encroachment by China have also been made by villagers in Kachin state, where one resident said a 20-foot-tall, 500-foot-long fence was put up between Waingmaw and Kanpaiti townships during the last week of July.

    “It’s obvious that they are doing whatever they want in the uninhabited areas of Myanmar,” Zay Jones, a resident of Kanpaiti, said. “They are expanding into our country, and no one says anything about it,” he said.

    “You can see barbed wire fences on the mountains from Kanpaiti. No one knows for sure whether these mountains are in Myanmar or in China, but we know [the fences] are on the Myanmar side.”

    “The Chinese just put up fences wherever they want,” he said.

    Local residents said that Kanpaiti township officials have sent a letter of protest to Chinese officials on the other side, but that no replies have been received.

    Local officials in Shan state’s Muse district conduct field inspections and “send objections to the relevant Chinese departments when problems occur," an official from the district’s administration department said, also speaking on condition of anonymity.

    "And if there is a violation of an agreement we signed earlier, we will send a letter of protest and report the situation to higher authorities,” the official said.

    “In some places where we have found a definite encroachment, they have had to pull it down, and in other places we have had to consult with joint inspection teams from both sides. But because of COVID, this isn’t happening at present,” he said.

    ’China may have reached an understanding’

    In Kachin state, the Chinese border lies mostly along areas controlled by the ethnic Kachin Independence Army (KIA), and almost all of it has been fenced off by China, local sources said. China has been building new fences since July near the remote mountain town of Laiza and in other places, they added.

    China may be prioritizing the building of fences in these areas to stop refugees entering China because of concerns over the political situation in Myanmar nine months after a Feb. 1 military coup overthrew the country’s elected civilian government, sparking widespread protests and fighting.

    “China may have reached an understanding with the ethnic armed groups,” said Than Soe Naing, an analyst of ethnic affairs in Myanmar.

    “Thus, we see today that new fences are being set up, especially in areas where there are clashes between junta forces and local militias who are trying to stop [central government] incursions into their land,” he said.

    Attempts to reach Myanmar’s Ministry of Foreign Affairs for comment were unsuccessful.

    China’s embassy in Myanmar in an email to RFA’s Myanmar Service on Monday called the construction of border fences “a common practice in many countries to strengthen border management.”

    “The fences will not enter Myanmar territory,” the embassy said.

    “China and Myanmar have been in close communication on this issue and hope the media can report it objectively.”

    #murs #barrières #frontières #barrières_frontalières #Chine #Myanmar #Birmanie

  •  Durant l’année 2020, c’est-à-dire au plus haut de l’épidémie de Covid 19 :

    • Les patients Covid représentaient 5% des patients en réanimation au maximum.
    • Les patients Covid représentaient 2% de l’ensemble des patients hospitalisés sur l’année
    • 0.6% des gens de plus de 80 ans sont décédés du Covid à l’hôpital alors que, les insuffisances cardiaques tuent 15% de cette classe d’âge chaque année ;
    • Il est apparu que la grippe attaque les personnes sans comorbidité de façon plus virulente que le Covid !
    • Pendant ce temps là, 5800 lits étaient supprimés dans les Hôpitaux.

    Chiffres de L’ATIH (Agence Technique de l’Information sur l’Hospitalisation).

    https://atih.sante.fr/information-medicale/covid-19

    #crise_sanitaire #sante #santé #coronavirus #sars-cov-2 #variant #covid #pandémie #vaccins #santé_publique #fric #argent #dividendes

  • Covid19 : Foutage de gueule et manipulation
    https://ricochets.cc/Covid19-Foutage-de-gueule-et-manipulation.html

    Les manipulations et les intoxications médiatiques en vue d’un gain politique ne sont pas une chose nouvelle. Rappelez-vous l’incident de la baie du Tonkin, monté de toutes pièces à partir de communications radio tronquées, qui détermina l’entrée en guerre des Etats-Unis au Vietnam. Souvenez-vous de la manière dont la première invasion de l’Irak reposa en partie sur la prétendue destruction des couveuses dans un hôpital de Koweit-City par les forces irakiennes. Une jeune femme se prétendant infirmière en (...) #Les_Articles

    / #Epidémies,_gestion_de_crise,_en_temps_de_catastrophe, #coronavirus, Autoritarisme, régime policier, (...)

    #Autoritarisme,_régime_policier,_démocrature...